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À propos
Hélène a évolué dans le secteur de l’hôtellerie pendant près de 15 ans comme commerciale, directrice d’hôtel et directrice des opérations. Elle en tire un sens du service où la primauté de l’humain, l’empathie, l’adaptabilité et la réactivité sont des valeurs et des qualités nécessaires aux rapports interpersonnels.
Les nombreux deuils qui ponctuent sa vie la sensibilisent aux pratiques du funéraire, à leurs histoires et leurs évolutions.
En 2017, c’est le déclic. Le manque d’accompagnement, de personnalisation et d’alternatives aux cérémonies religieuses, la persuade que les pratiques doivent être bousculées.
En 2021, elle lance son projet d’organisation funéraire à travers La Fabrique des Adieux, en s’entourant de professionnels engagés, qui partagent sa vision de la mort et des obsèques.
Formations spécialisées
- Conseiller Funéraire, Niveau IV – Nova Formation, 2020
- Dirigeant d’Entreprise Funéraire, Niveau VI – ENAMEF, 2021
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La garantie d’un prix juste
L’expertise du domaine funéraire
Des services personnalisés
Une disponibilité complète
Le sens du détail et du service
Une écoute chaleureuse et sincère
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Manifeste Happy End
Accepter la mort comme une partie intégrante de notre vie, et la regarder de face: voilà comment nous la concevons!
C’est pourquoi nous avons adhéré au manifeste d’HappyEnd.life.
- Je trouve que le silence autour de la mort est pesant, tant pour ceux dont la fin est proche que pour ceux qui traversent un deuil. Lui redonner sa juste place, c’est s’offrir la possibilité de la vivre moins seuls.
- Je souhaite que nous puissions parler de la mort plus librement. La mort n’est pas morbide, elle mérite d’être abordée comme tout autre sujet de société. Sur tous les tons, dans toutes les sphères et quel que soit la façon dont elle survient.
- J’estime que le deuil, qui touche 3 à 4 millions de personnes chaque année, est un sujet de santé publique dont les pouvoirs publics doivent s’emparer.
- Je crois à l’importance des rituels pour honorer ceux qu’on aime. Les rites accompagnent le chemin du deuil. Nous devons nous sentir libres d’inventer les nôtres si ceux qui existent ne nous conviennent pas.
- J’ai conscience qu’anticiper mon départ ne me fera pas mourir plus tôt et que la superstition qui entoure ce sujet participe à la confiscation de la parole. Faire connaître mes choix funéraires me permet d’être acteur de ma vie jusqu’au bout et soulage mes proches de choix délicats au moment de mon décès.
- Je pense que le salut à nos morts mérite d’être repensé. Nous avons de nouveaux besoins, de nouvelles attentes. Ensemble, nous pouvons inventer le modèle funéraire de demain.